Rallye Paris Granville DIOR 18 au 20 Septembre 2020 compte rendu et reportage photos
En cette saison un peu triste Peuplée d’Aquoibonistes Bêlant sur tous les tons ” A quoi bon ”
Vingt sept valeureux équipages ont rivé leur clou aux défaitistes qui prétendaient les noyer dans un verre d’eau.
Tous présents vendredi matin 18 septembre 2020. Philippe Le Moult, I’autorité bienveillante, les recevait Champs Élysées à
l’enseigne prestigieuse « DIOR » ; un compliment pour chaque voiture ancienne, toutes exceptionnelles.
Dans la bonne humeur du petit déjeuner du Fouquet’s je vous fiche
mon billet de déceler sur les visages de Lionel De la Sayette, pierre Humm, Jean Claude Pelletier, Henri Sauvegrain, et sa charmante Jocelyne, la moindre trace des montagnes d’obstacles qu’ils gravirent, de la jungle insaisissable des administrations qu’ils élaguèrent pour notre plaisir.
.. ça démarre, ça décrasse sur l’autoroute, ça défile devant Montfort L’Amaury, ça verdoie dans le Perche, les chevaux du
Haras Du Pin sont fringants comme toujours.
La route est belle jusqu’à Bagnoles de L’Orne. Le Manoir Du Lys, juste rafraîchi d’une ondée bienfaisante nous fait une soirée délicieuse.
Samedi matin, le cœur s’ébroue, mélange de regret du partir et de soif de belles surprises à venir. La présence de l’ « ange
gardien » Philippe Leclaire nous rassure. Adieu l’Orne, bonjour la Manche. Les couleurs de Granville quand vient midi sont incomparables, incomparable aussi le brunch délicat dans les jardins du musée Dior.
Faites nous, je vous prie, des guides comme celui du château de Pirou qui de quatre vieilles pierres dessine un palais enchanté.
Douillettement malmenés par nos vieilles mécaniques, nous aimons le confort de l’hôtel Mercure.
Un joli bus conduit par un virtuose nous dépose à l’« Albatros » ; champagne « Caron », agapes en musique en la généreuse
présence de Yvon Malandin, Jean Claude Cailloux, Henri Sauvegrain, retour bercé dans le car et dodo.
Dimanche, toujours fidèles, les Granvillais accourent dès dix heures, admirer nos autos changeantes par le miracle d’un grain
éphémère, et à quatorze heures resplendit le soleil du concours d’élégance. Efficace, Patrick Rollet, culture encyclopédique,
mémoire de l’automobile.
Mission impossible pour le jury vu l’excellence du
plateau, chercher la « substantifique moële » dans la quintessence du parfait ! Compliments mesdames, messieurs, vous avez nommé le nec plus ultra.
Notre as du volant, alias Pierre De Beaufix sans sa pétillante Pénélope Joli Cœur, nous mène à la soirée de Gala au château des
Hauts de Saint Jean. Catherine Arino me dessine le Mont Saint Michel par delà la baie et miracle je l’aperçois. Une symphonie je vous l’assure : cadre enchanteur, Champagnes Moët et Chandon frappés, j’insiste LES champagnes, accordés aux mets délicats et délicieux, vaisselle de fête, chemin de table somptueux, bel canto de rêve : Carmen, La Traviata, O Sole Mio, donnés par un ténor, un baryton, une soprane, une mezzo et leur jolie pianiste !!! Jean Claude, Philippe vous êtes des princes…
Vers minuit le carrosse de Fangio demeura carrosse, point de citrouille malgré l’heure propice, propice à la belle voix d’Henri,
refrains massacrés par tous les passagers, soulignés par les cris d’allégresse de la douce Frédérique.
« Ils jouaient du volant debout »
« Quand les trouillards sont à genoux »
Ne leur a-t-on pas cloué le bec aux pessimistes en vivant joyeusement, avec prudence, évoluant lucides dans l’immense espace
que nous concède le « covid » ?
Georges Pontet
Vingt sept valeureux équipages ont rivé leur clou aux défaitistes qui prétendaient les noyer dans un verre d’eau.
Tous présents vendredi matin 18 septembre 2020. Philippe Le Moult, I’autorité bienveillante, les recevait Champs Élysées à
l’enseigne prestigieuse « DIOR » ; un compliment pour chaque voiture ancienne, toutes exceptionnelles.
Dans la bonne humeur du petit déjeuner du Fouquet’s je vous fiche
mon billet de déceler sur les visages de Lionel De la Sayette, pierre Humm, Jean Claude Pelletier, Henri Sauvegrain, et sa charmante Jocelyne, la moindre trace des montagnes d’obstacles qu’ils gravirent, de la jungle insaisissable des administrations qu’ils élaguèrent pour notre plaisir.
.. ça démarre, ça décrasse sur l’autoroute, ça défile devant Montfort L’Amaury, ça verdoie dans le Perche, les chevaux du
Haras Du Pin sont fringants comme toujours.
La route est belle jusqu’à Bagnoles de L’Orne. Le Manoir Du Lys, juste rafraîchi d’une ondée bienfaisante nous fait une soirée délicieuse.
Samedi matin, le cœur s’ébroue, mélange de regret du partir et de soif de belles surprises à venir. La présence de l’ « ange
gardien » Philippe Leclaire nous rassure. Adieu l’Orne, bonjour la Manche. Les couleurs de Granville quand vient midi sont incomparables, incomparable aussi le brunch délicat dans les jardins du musée Dior.
Faites nous, je vous prie, des guides comme celui du château de Pirou qui de quatre vieilles pierres dessine un palais enchanté.
Douillettement malmenés par nos vieilles mécaniques, nous aimons le confort de l’hôtel Mercure.
Un joli bus conduit par un virtuose nous dépose à l’« Albatros » ; champagne « Caron », agapes en musique en la généreuse
présence de Yvon Malandin, Jean Claude Cailloux, Henri Sauvegrain, retour bercé dans le car et dodo.
Dimanche, toujours fidèles, les Granvillais accourent dès dix heures, admirer nos autos changeantes par le miracle d’un grain
éphémère, et à quatorze heures resplendit le soleil du concours d’élégance. Efficace, Patrick Rollet, culture encyclopédique,
mémoire de l’automobile.
Mission impossible pour le jury vu l’excellence du
plateau, chercher la « substantifique moële » dans la quintessence du parfait ! Compliments mesdames, messieurs, vous avez nommé le nec plus ultra.
Notre as du volant, alias Pierre De Beaufix sans sa pétillante Pénélope Joli Cœur, nous mène à la soirée de Gala au château des
Hauts de Saint Jean. Catherine Arino me dessine le Mont Saint Michel par delà la baie et miracle je l’aperçois. Une symphonie je vous l’assure : cadre enchanteur, Champagnes Moët et Chandon frappés, j’insiste LES champagnes, accordés aux mets délicats et délicieux, vaisselle de fête, chemin de table somptueux, bel canto de rêve : Carmen, La Traviata, O Sole Mio, donnés par un ténor, un baryton, une soprane, une mezzo et leur jolie pianiste !!! Jean Claude, Philippe vous êtes des princes…
Vers minuit le carrosse de Fangio demeura carrosse, point de citrouille malgré l’heure propice, propice à la belle voix d’Henri,
refrains massacrés par tous les passagers, soulignés par les cris d’allégresse de la douce Frédérique.
« Ils jouaient du volant debout »
« Quand les trouillards sont à genoux »
Ne leur a-t-on pas cloué le bec aux pessimistes en vivant joyeusement, avec prudence, évoluant lucides dans l’immense espace
que nous concède le « covid » ?
Georges Pontet
Date : 18-19-20 septembre 2020